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CLINIQUE JAP

HISTORIQUE ET MISSION

La Clinique JAP du CHUM a été fondée en 1999 par Dre Béatrice Granger avec une petite équipe d’ergothérapeutes et travailleurs sociaux en vue d’offrir aux jeunes aux prises avec une psychose débutante de  meilleures possibilités de rétablissement par le biais d’une intervention interdisciplinaire spécialisée, précoce, intensive, axée surtout sur les services dans la communauté.  Cette approche novatrice, démontrée comme la plus efficace pour permettre la rémission des symptômes et la réinsertion des jeunes dans un rôle social a été développée au début des années 1990 en Australie et est maintenant répandue à travers le monde.  Avec les années,  la clinique a pris de l’ampleur et offre maintenant des services à plus de 300 jeunes du centre-ville de Montréal à chaque année.  La Clinique JAP fait partie des membres fondateurs de l’Association des Programmes pour Premiers Épisodes Psychotiques (AQPPEP).

Rencontre avec Dre Amal Abdel-Baki, psychiatre à la Clinique JAP du CHUM

MISSION DE LA CLINIQUE JAP

Depuis 1999, la Clinique JAP s’est donnée comme mission :

- D’offrir un accès facile et rapide à un traitement pour jeunes adultes souffrant de psychose
- D’offrir un traitement basé sur la collaboration tant avec le jeune adulte que ses proches, dans un climat d’espoir réaliste
- D’atteindre une rémission des symptômes de la psychose et la réintégration du patient dans son milieu et dans ses rôles sociaux significatifs
- D’offrir une gamme étendue de services à la fine pointe des connaissances actuelles
- De promouvoir l’importance de la prise en charge précoce et intensive des jeunes souffrant d’un épisode psychotique dès les premiers signes

OBJECTIF DE LA CLINIQUE JAP

Détection précoce de la psychose en collaboration avec les organismes communautaires partenaires du CHUM.
- Intervention précoce et intensive auprès du patient et de ses proches dans une approche de collaboration et de continuité de soins.
- Formation et éducation 

La Clinique JAP fait partie du département de psychiatrie du Centre hospitalier de l’Université de Montréal (CHUM). En tant qu’hôpital universitaire, elle accueille et forme des étudiants stagiaires et des résidents de diverses disciplines (médecine, psychiatrie, ergothérapie, travail social, soins infirmiers, etc.) intéressés à développer leurs connaissances et habiletés dans ce secteur de soins.

En plus des conférences scientifiques offertes aux médecins, psychiatres et autres professionnels de la santé, la Clinique JAP offre également de la formation et des conférences éducatives au sein des organismes communautaires ou scolaires; intervenant auprès des jeunes ou encore aux associations de soutien pour les proches de gens atteints de maladie mentale, afin de sensibiliser les gens à l’importance de l’intervention précoce pour la psychose.

À QUI S’ADRESSE LES SERVICES DE LA CLINIQUE JAP?

- Aux jeunes adultes de 18 à 35 ans
- Aux jeunes atteints d’une psychose affective ou non affective comme diagnostic principal
- Aux jeunes jamais traités ou traités depuis moins d’un an pour une psychose
- Aux jeunes résidant sur le territoire desservi par les CSSS Jeanne-Mance et coeur de l'île. Votre code postal doit comporter l'une des trois premières lettres suivantes: H2H, H2K, H2L, H2T, H2V, H2W, H2X, H2Y, H2Z, H3B, H5B ou H2J.

COMMENT AVOIR ACCÈS AUX SERVICES DE LA CLINIQUE JAP

Les jeunes peuvent être référés par des professionnels en santé mentale, des médecins, des psychologues ou intervenants travaillant auprès de jeunes. La famille, l’école, les amis ou les personnes elles-mêmes peuvent également soumettre une demande de consultation en communiquant avec la Clinique JAP. Voir informations sur la page Contact.

L’ÉQUIPE

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Dre Amal Abdel-Baki, M.Sc., FRCPC

Dre Amal Abdel-Baki a complété sa formation médicale et sa résidence en psychiatrie à l’Université Laval en 2001. Elle a complété à l’Université de Montréal, une maîtrise en sciences biomédicales sur les facteurs prédicteurs de l’évolution à long terme de la schizophrénie au Québec. Elle a complété un an de formation complémentaire en recherche et en clinique (fellowship) à EPPIC, Melbourne, Australie avec l’équipe du Pr Patrick McGorry (leader du mouvement international de détection et intervention précoce pour la psychose). Depuis plusieurs années, elle s’intéresse à la détection et l’intervention précoce pour la psychose chez les jeunes, de même qu’aux approches de traitement psychosociales, à la psychothérapie cognitivo-comportementales spécifiques pour la psychose et au retour à l’activité productive (travail-études) chez les jeunes atteints de psychose. Elle travaille à la Clinique JAP depuis 2002 en tant que psychiatre et chef de la Clinique et de la recherche.

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Adja Awa Wade, Infirmière-chef

Adja Awa Wade est Infirmière diplômée en France depuis 2007, elle a des expériences variées incluant la santé mentale, la promotion de la santé publique, l’éducation à la santé des jeunes délinquants, les soins à domicile, et le service des urgences. Son intérêt en psychiatrie s’est prononcé dès le début de sa carrière, notamment en rédigeant un mémoire en lien avec la différence de la prise en charge par rapport à la culture en psychiatrie. Au Québec, depuis février 2020, elle a eu la chance et le plaisir de découvrir le système de santé et d'intégrer le poste de chef d'unité de la clinique JAP interne et externe depuis Mars 2023.
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Dre Laurence Artaud, M.Sc., FRCPC

Dre Laurence Artaud a complété sa formation médicale et sa résidence en psychiatrie à l'Université de Montréal en 2003. Elle a également complété une maitrise en sciences biomédicales à l'Université de Montréal portant sur les raisons qui influencent la participation aux soins chez les jeunes adultes en début de psychose.

Dre Artaud travaille comme psychiatre et professeur clinicienne à la Clinique JAP du CHUM depuis 2006.

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Dre Clairélaine Ouellet-Plamondon, M.Sc., FRCPC

Dre Clairélaine Ouellet-Plamondon est médecin psychiatre au département de psychiatrie du CHUM. Elle est professeure adjointe de clinique au Département de psychiatrie de l’Université de Montréal et chercheure au CR-CHUM.

Après une formation en sciences biomédicales, la Dre Ouellet-Plamondon a complété ses études en médecine et, de façon concomitante, une maîtrise en sciences biomédicales (programme MD/MSc) à l’Université de Montréal. Par la suite, elle a fait sa résidence en psychiatrie à la même institution. Après sa spécialisation, elle a joint le Center of Addiction and Mental Health (CAMH) de Toronto pour une formation complémentaire en premier épisode psychotique et trouble concomitant, psychose et toxicomanie (Clinical Fellowship in Addiction Psychiatry and Schizophrenia). Depuis 2013, elle travaille au CHUM comme psychiatre au sein des équipes de la Clinique JAP (Jeunes Adultes Psychotiques) et de l'unité de psychiatrie des toxicomanies (UPT). Ses intérêts cliniques et de recherche se concentrent sur les psychoses débutantes et les troubles d'usage des substances. Elle s’intéresse aussi à des pratiques innovantes telles que l’intervention par la nature et l’aventure.

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Dr Jean-François Morin, M.Sc., FRCPC

Dr Morin est médecin psychiatre à la Clinique JAP du Continuum santé mentale jeunesse du CHUM depuis janvier 2020. Il est professeur adjoint de clinique au Département de psychiatrie et d’addictologie de l’Université de Montréal. Il a terminé ses études médicales et sa résidence en psychiatrie à l’Université Laval en 2015. Il est titulaire d’une maîtrise en épidémiologie recherche clinique de l’Université Laval. Depuis 2015, il est impliqué dans les soins offerts aux patients présentant un premier épisode psychotique et il pratique la psychothérapie basée sur la mentalisation. Après avoir travaillé quelques années à l’Hôpital Pierre-Le Gardeur, Dr Morin a complété une formation complémentaire en clinique et en recherche (fellowship) à Londres, Royaume-Uni, et à Paris (France). Sa surspécialisation en intervention précoce de la psychose s’est déroulée au Westminster and Kensington & Chelsea Early Intervention in Psychosis Team de Central North West London NHS Foundation Trust et à l’hôpital de jour Schizophrénie de Corentin-Celton des Hôpitaux Universitaires Paris-Ouest, en France. Il a aussi participé à la recherche dans le domaine des états à haut risque de psychose au Department of Psychosis Studies, Institute of Psychiatry, Psychology & Neuroscience, King’s College de Londres. Il a développé une expertise dans l’intégration des jeunes 14-18 ans aux programmes de psychiatrie adulte et à l’évaluation de cas complexes liés aux traumatismes et à la personnalité. Pinel.
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Prométhéas Constantinides, MD, FRCPC

Le Dr Prométhéas Constantinides est psychiatre et psychothérapeute depuis 2005. Il est également professeur adjoint de clinique à l’Université de Montréal, où il enseigne la psychothérapie analytique et œuvre en tant que superviseur de cette approche auprès des résidents en psychiatrie et d’autres professionnels de la santé.

 

Après des études médicales et une spécialisation en psychiatrie à l’Université de Montréal, il complète en 2007 une formation complémentaire de recherche à l'Hôpital général juif de Montréal (réseau universitaire Mcgill) sur les processus de changement associés à la psychothérapie.

De 2005 à 2021, il oeuvre à l’Institut universitaire en santé mentale de Montréal (IUSMM) auprès de patients souffrant de psychose au Suivi intensif dans le milieu (SIM), en clinique externe et en hospitalisation. Durant cette même période, le Dr Constantinides travaille à l'élaboration d’une psychothérapie innovante, la thérapie axée sur la mentalisation pour la psychose, tout en poursuivant en parallèle une pratique psychanalytique en cabinet.

Il se joint à la Clinique JAP du CHUM en 2022 où il continue ses travaux de recherche sur la psychothérapie de la psychose.

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Marilyn Paquet, ergothérapeute, chef d'équipe

Marilyn Paquet a complété une maitrise en ergothérapie à l’Université de Montréal en 2009 sur le rétablissement des personnes ayant des troubles mentaux graves dans le contexte québécois. Le continuum des soins pour les services en santé mentale jeunesse-adulte demeure un de ses intérêts, ainsi que le vocational case manager. En 2016, elle a complété son certificat en gestion de la santé et des services sociaux à l’Université de Montréal. Elle travaille à la Clinique JAP depuis 2010 et assume le rôle de chef d’équipe depuis 2019. Elle contribue à la formation des intervenants de l’équipe et des partenaires externes.

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Marie-Pier Duquet, infimière, chef d'équipe

Marie-Pier travaille en psychiatrie depuis son arrivée au CHUM en 2010. C’est en 2012 qu’elle débutera son expertise à la Clinique JAP. Infirmière clinicienne de formation, elle s’est approprié à merveille le rôle d’intervenante-pivot après avoir bien rempli le rôle d’infirmière à la clinique. Six ans plus tard, elle est devenue une source de référence dans l'équipe. Marie-Pier est devenue chef de l’EQIIP Sol, une équipe pour les jeunes itinérants, psychotiques et toxicomanes. Elle coordonne en tant que chef d’équipe une table d’échange (communauté de pratique) qui se réunit mensuellement autour des enjeux de détection et d’intervention précoce pour la psychose et troubles comorbides auprès des jeunes de la rue.

À travers les années, elle s’est impliquée dans de nombreux groupes (TCC anxiété, groupes réguliers, groupe plein-air, groupe de support pour parents et la formation pour les futures cliniques de premier épisode) mais a aussi pris des responsabilités dans l’animation des réunions et la supervision/mentorat des nouveaux intervenants. Connue pour sa bonne humeur, Marie-Pier adore travailler avec les jeunes, elle a à cœur le rétablissement des jeunes et le bon fonctionnement de l’équipe.

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Stéphanie Dagenais, infirmière

Stéphanie Dagenais a complété une technique en soins infirmiers à Montréal, suite à ses études elle a débuté sa carrière au Centre des naissances à l’hôpital St-Luc. Par la suite, elle a complété sa formation à l’Université de Sherbrooke avec une concentration en santé communautaire au Baccalauréat en sciences infirmières. Elle travaille depuis 2015 au département de psychiatrie du CHUM, où elle a travaillé sur l’équipe volante en psychiatrie et, depuis janvier 2016, elle a joint l’équipe JAP. Elle a un intérêt particulier pour la promotion de la santé, la réduction des méfaits et la réadaptation.
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Nicolas St-Pierre, travailleur social

Ayant été paramédic pendant plus de 8 ans à Montréal, Nicolas a découvert un grand intérêt pour la santé mentale ainsi que les problématiques sociales. C’est pourquoi Il a effectué un baccalauréat en travail social à l’université de Montréal où il a gradué en 2022. À JAP depuis mai 2022, il met de l’avant l’activité physique dans ses diverses interventions auprès des jeunes.
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Erhel Diard, IPSSM

Erhel Diard a complété ses études d’infirmière en France en 2010. Elle a un parcours varié : plusieurs années en santé mentale sur différentes unités d’hospitalisation et d’urgence, tant en France qu’à Montréal, en recherche (thérapie Avatar), ainsi qu’en soins physiques et une mission de solidarité internationale de 6 mois en Inde. Elle a fait partie de la première cohorte formée pour être infirmière praticienne spécialisée en santé mentale, à l’UdeM. C’est depuis 2019, qu’elle exerce ces nouvelles fonctions d’IPSSM au CHUM, à la clinique JAP, auprès de jeunes présentant un premier épisode de psychose. Elle aime particulièrement faire preuve de créativité pour adapter ses approches aux besoins des jeunes. Elle est également impliquée dans le volet formation de l’AQPPEP (Association Québécoise des Programmes des Premiers Épisodes de Psychose).

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Samuel Dubuc-Mageau, travailleur social

Samuel Dubuc-Mageau a complété son baccalauréat en travail social à l’Université du Québec en Outaouais en 2014. Il a ensuite travaillé pendant trois ans dans le milieu communautaire à Montréal, au niveau de la problématique d’itinérance. Il a joint le service social du CHUM en 2016, et depuis 2017, il travaille dans le volet EQIIP SOL desservant la Clinique JAP. Le projet vise particulièrement ses cordes en termes d’intervenant.
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Geneviève Gagné, travailleuse sociale/APPR

À la clinique JAP du CHUM depuis 2010, détentrice d’une maîtrise en service social de l’université McGill en 2015, Geneviève s’intéresse depuis plusieurs années à l’intervention psychosociale en contexte interculturel. D'abord intervenante pivot pendant une dizaine d'années, elle occupe désormais un poste d'Agente de Planification, Programmation et Recherche. Dans ces fonctions, elle assure un rôle de soutien à la clinique JAP en matière de formation continue et de révision de la programmation et est aussi responsable du volet hébergement (NSA) pour le MSSS. Elle organise également l'offre de service pour les membres de l'entourage des jeunes suivis à la clinique et s'implique dans le service de thérapie familiale. Cette implication auprès des membres de l'entourage et le travail en partenariat avec les pairs aidants, les pairs aidantes famille et les patient.es partenaires sont au cœur de l'engagement de Geneviève qui se donne pour mission de contribuer à la reconnaissance de l'expertise expérientielle et à sa valorisation dans le réseau de la santé et des services sociaux.
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Sonia Vigneault, pair aidante famille

Sonia est comédienne depuis 30 ans. Elle a joué des premiers rôles dans plus d’une cinquantaine de séries et films québécois ainsi qu’au théâtre. En 2018, suite aux épisodes psychotiques de son proche, elle devient proche aidante et bénéficie du soutien à la clinique JAP, où son proche est suivi. Ce moment est charnière dans sa vie et l'amène à faire la formation offerte par l’AQRP et l’UQAR en paire aidance famille. Elle obtient son diplôme en juin 2023. Depuis mars 2024, Sonia fait partie de l’équipe interdisciplinaire de la clinique à titre de Paire Aidante Famille. Elle utilise son vécu expérientiel et ses connaissances acquises pour offrir du soutien aux proches des usagers de la clinique, soutien qu'elle considère essentiel au rétablissement, autant des usagers que de leurs proches. Instigatrice de divers projets artistiques, elle travaille présentement sur un projet de théâtre documentaire intitulé Pop Psychose qui raconte son parcours de proche aidante.
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Marie-Pascale Gagnon, ergothérapeute

Marie-Pascale a gradué en ergothérapie de l’Université de Montréal en 2017. Au cours de son parcours académique, elle a pu ouvrir ses horizons sur la santé mentale via l’exploration de diverses cultures et approches, ayant réalisé un stage à une clinique privée de santé mentale en France, puis du bénévolat à l’Instituto de psicatria Gregorio Pacheco en Bolivie. Elle a ensuite débuté sa carrière dans une équipe de suivi intensif dans le milieu (SIM) de l’Institut universitaire de santé mentale de Montréal, qui prône l’intervention dans la communauté, le travail interdisciplinaire et l’autonomie des adultes atteints de problèmes de santé mentale chroniques. C’est depuis 2020 qu’elle s’est jointe à l’équipe JAP du CHUM. Au travers de toutes ces expériences, elle met une place prépondérante à l’expérience du jeune dans ses interventions, prônant une approche de partenariat avec celui-ci et intègre la promotion de l’activité physique pour le rétablissement.

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Adrienne Sachs, ergothérapeute

Adrienne a obtenu sa maîtrise en ergothérapie en 2018 de l'Université Dalhousie en Nouvelle-Écosse. Par la suite, elle a poursuivi une carrière de 3 ans en réadaptation physique (clientèle adulte et personnes âgées) en milieu hospitalier et a acquéri de l'expérience dans divers programmes en déficience physique de l'Hôpital Juif de Réadaptation de Laval. Entretemps, elle a commencé une pratique privée à temps partiel auprès d'adolescents ayant des difficultés d'apprentissage pour explorer un intérêt qu'elle avait en santé mentale jeunesse. Cette expérience lui a permis de reconnaître que sa passion résidait avec cette clientèle. Une offre d'emploi à la clinique JAP du CHUM se présentait donc comme une excellente opportunité et un défi. Adrienne travaille à la clinique JAP depuis juin 2022 en tant qu'intervenante-pivot et ergothérapeute. Elle s'intéresse particulièrement aux interventions liées au retour aux études et au travail, ainsi qu'auprès des proches.
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Mathieu Giguère-Allard, ergothérapeute

Mathieu est ergothérapeute depuis 2011, diplômé de l’Université de Montréal. Il a travaillé 4 ans en psychiatrie générale (unités d’hospitalisation) comme en médecine-psychiatrie des toxicomanies (volet interne) et a développé un intérêt particulier par rapport aux problématiques d’abus de substance. À JAP depuis fin 2015, il croit en l’activité comme médium thérapeutique, il aime d’ailleurs beaucoup JOUER dans sa vie (jeux de société, sports individuels et d’équipe, musique) et comprend l’importance d’une vie bien équilibrée! Il aime le travail d’équipe, aime créer un lien avec les jeunes, même si parfois ce lien représente un défi; diagnostic et aide difficiles à accepter lorsqu’on ne perçoit pas la situation de la même manière que l’équipe traitante! De plus, il s’implique en enseignement (programme d’ergothérapie - volet santé mentale, reçoit stagiaires) depuis sa graduation. Il occupe également le rôle de coordonnateur en ergothérapie pour les programmes de santé mentale au CHUM.

En tant qu’ergothérapeute, il s’intéresse à la personne dans son ensemble et souhaite qu’elle puisse développer son potentiel et maximise le plus d’opportunités d’occupations possibles, car parfois l’épisode psychotique vient jouer sur d’importants projets comme l’école ou le travail.

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Léa Léveillée Elbariz, infirmière

Léa Léveillée Elbariz a débuté sa carrière en travaillant en psychiatrie à l’Hôpital Notre-Dame après avoir complété une technique en soins infirmiers. Elle poursuit ensuite ses études tout en maintenant son emploi comme infirmière en psychiatrie et a depuis son baccalauréat en sciences infirmières (2019). Elle a développé son expertise clinique en travaillant dans divers départements en santé mentale. Ces expériences lui ont permis de devenir intervenante-pivot en clinique externe à l’ÉQIIP-SOL. Elle a à cœur le travail en partenariat avec les jeunes et les divers acteurs permettant leur rétablissement. Un de ses intérêts premiers est d’intervenir directement auprès de la personne dans son milieu.

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Émilie Barbé, travailleuse sociale

Émilie Barbé a complété un baccalauréat en psychologie à l'Université de Montréal et un baccalauréat en travail social à l'Université de Québec à Montréal. Durant ses études, elle a travaillé quatre ans dans un organisme à but non lucratif offrant du soutien, de l'accompagnement et de l'information juridique. Elle a également travaillé dans le milieu communautaire au niveau de la problématique d'itinérance. En 2022, Émilie regroupe ses intérêts pour la santé mentale et le travail social en se joignant à l'équipe de la clinique JAP. En intervention, elle prône le travail en partenariat avec les jeunes, la défense de leurs droits et la réappropriation de leur pouvoir d'action sur leur vie.
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Naomie Leblanc, travailleuse sociale

Naomie Leblanc a initialement complété un baccalauréat en psychologie en 2018. Son début de parcours académique l'a mené à travailler quatre ans dans le milieu communautaire afin de venir en aide aux personnes vivant avec un trouble d’usage de substances psychoactives et de jeux pathologiques. Dans une optique d'enrichir ses connaissances et ses capacités d'intervention, elle a complété un baccalauréat en Travail social en 2022 et a intégré la Clinique JAP par la suite. La clinique lui permet de s'épanouir en tant qu'intervenante, notamment en étant en mesure d'accompagner les jeunes adultes dans leur rétablissement.
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Édith Maisonneuve, travailleuse sociale

Edith Maisonneuve a complété un Baccalauréat en service social à l’Université de Sherbrooke en 2011. Elle travaille au CHUM depuis sa graduation et a accumulé des expériences dans plusieurs spécialités dont la neurologie durant 4 ans. Elle travaille à la Clinique JAP depuis 2016 et s’est jointe en 2017 à l’EQIIP Sol. Elle s’intéresse aux enjeux systémiques en lien avec l’itinérance et la santé mentale. On la voit régulièrement au groupe de sport qu’elle considère comme un levier pour amener les jeunes à se mettre en action.

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Jean Manneville Jr. Theagene, pair-aidant/kinésiologue

Jean détient 25 ans d’expérience à titre d’entraîneur personnel auprès de différentes clientèles, ce qui lui donne une expérience très diversifiée dans le domaine de l’activité physique. Il a complété une Maîtrise en Kinésiologie à l’UDEM en décembre 2020. En plus de ses connaissance en activité physique Jean est un Pair-Aidant certifié de l’AQRP et de Peer Support Canada. Jean est l’initiateur et l’animateur du groupe de Télékinésiologie (Entrainement par vidéoconférence) un service toujours offert 3/semaine à ce jour par la clinique JAP. Jean compose avec un problème de santé mentale depuis 20 ans et son expérience en tant que personne atteinte pourra certainement servir de modèle de rétablissement pour beaucoup d’usager.ère.s. Son principal moteur de rétablissement passe par l’activité physique. Une des grandes aspirations de Jean est d’encourager les jeunes adultes atteints de psychose à prendre en main leur santé mentale et physique dans le but qu’ils trouvent, tout comme lui, un équilibre dans leur vie.
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Gabriel Julien, pair-aidant

Gabriel s'implique à sa manière pour la cause de la santé mentale depuis 2019. À travers différents médias, il partage son rétablissement afin que les jeunes se sentent moins seul pour traverser cette épreuve difficile qu'est la psychose. Son désir d'atténuer la souffrance que peut occasionner une première psychose est son moteur en tant que pair aidant et sa mission est de donner espoir à des jours meilleurs pour ses pairs.
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Marie-Pier Proulx, travailleuse sociale

Marie-Pier Proulx s’est jointe à l’EQIIP SOL de la Clinique JAP à titre de travailleuse sociale en juin 2021, tout juste après avoir obtenu son baccalauréat en travail social à l’Université du Québec à Montréal. Avant de travailler auprès de l’EQIIP SOL, Marie-Pier a cumulé plusieurs années d’intervention dans le milieu communautaire, notamment auprès des filles et des femmes en difficulté. Également artiste, elle a complété une formation professionnelle à l’École de danse contemporaine de Montréal (2016) et un diplôme d’études collégiales en danse contemporaine au Cégep de Saint-Laurent (2013). Pour Marie-Pier, la danse et le travail social ont toujours été intrinsèquement reliés. Son engagement social se fait ressentir dans l’ensemble sa carrière artistique où elle mène plusieurs projets d’art en communauté, dont la pièce de théâtre forum Le contrôle du corps des femmes créée en concertation avec les participantes du Centre des femmes d’ici et d’ailleurs et les membres de Vichama Collectif. Résolument inventive et engagée, Marie-Pier a à cœur le bien-être des jeunes auprès de qui elle travaille. Elle saura écouter, épauler et accompagner les jeunes dans le chemin du rétablissement.

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Audrey Rainville, travailleuse sociale

En 2007 pendant un stage de coopération internationale au Togo, Audrey s’initie et se familiarise avec l’intervention sociale. Cette expérience la mènera dès son retour à travailler auprès des femmes en difficulté au pavillon Patricia Mackenzie de la Mission Old Brewery et à l’Auberge Madeleine où elle a été intervenante et a animé différents ateliers de groupe. Période pendant laquelle elle a complété un baccalauréat à l’école de travail social de l’UQAM en 2012. Elle est travailleuse sociale en milieu hospitalier depuis et a intégré l’équipe JAP en 2018.
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Carmela Schiraldi, ergothérapeute

Carmela Schiraldi est ergothérapeute en santé mentale depuis 2009. Elle travaille onze ans à l'Institut Universitaire en santé mentale de Montréal (IUSMM), auprès d'une clientèle variée (troubles anxieux et de l’humeur, troubles psychotiques, toxicomanie et psychiatrie légale). Elle met sur pied divers partenariats avec la communauté afin de créer des opportunités de rétablissement à travers divers médiums pour les patients (p.ex. troupe de théâtre, groupe de sports adaptés). De plus, elle développe une pratique en clinique privée auprès d’une clientèle adulte aux prises avec des problèmes divers liées à la santé mentale. Également, elle participe activement à la mission d’enseignement prônée par la discipline notamment en supervisant des stagiaires universitaires et en participant à des événements de rayonnement de l’ergothérapie en santé mentale. Depuis 2020, elle fait un retour à ses premiers amours et joint l’équipe de la clinique JAP au CHUM. En tant qu’ergothérapeute, elle prône la personne dans sa globalité au centre de ses interventions, et mise sur les rêves et désirs des jeunes pour les engager dans leur processus de rétablissement.

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Kimberly Borwick, ergothérapeute

Kimberly s'est jointe à l'équipe JAP en juin 2022 à titre d'ergothérapeute. Après avoir graduée en ergothérapie de l'Université de Sherbrooke en 2018, elle souhaitait poursuivre ses études tout en travaillant comme ergothérapeute. Après avoir complété une mineure en études autochtones, elle a complété une maîtrise en recherche en sciences de la santé (Enjeux de sécurité culturelle selon les personnes issues des Premières Nations dans un contexte médical). En effet, depuis ses études au CÉGEP, Kimberly aimait en apprendre davantage sur les aspects culturels et de la santé des humains. Avant d'arriver à la clinique JAP, Kimberly a travaillé en clinique privée et en CLSC 1ère ligne en santé mentale adulte. Son intérêt à travailler avec les personnes atteintes de troubles de santé mentale est né de stages en milieux communautaires et hospitaliers. Travailler en équipe et développer une alliance de confiance avec les jeunes suivis à la clinique en intervenant dans le milieu est particulièrement ce qu'elle apprécie de travailler à la clinique JAP.
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Audrey Vézina, ergothérapeute

Ergothérapeute de formation, Audrey a travaillé en neurologie depuis sa graduation en ergothérapie (maîtrise) en 2013 à l’Université de Montréal. Cependant, Audrey a toujours eu un intérêt pour la santé mentale depuis un stage marquant à l’hôpital Notre-Dame en psychiatrie inscrit dans son parcours académique, où la défense des droits des patients et l’autonomisation étaient mis de l’avant. Son arrivée à la Clinique JAP en 2017 constitua un défi professionnel, mais aussi une opportunité de redécouvrir la relation d’aide sous un angle différent.

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Dre Béatrice Granger, MD, FRCPC

Suite à ses études spécialisées en chirurgie, Dre Granger a travaillé comme chirurgienne à Val-D’Or pendant quelques mois, suite à quoi, elle a complété une 2e spécialisation en psychiatrie. Elle a fondé la Clinique JAP en 1999 constatant le besoin de ce genre de prise en charge pour cette clientèle. Femme dynamique et innovatrice, elle a aussi fondé l’hôpital de jour pour les troubles psychotiques du CHUM.